MON REVE

cette nuit j'ai fait un rève bizarre.... je pense que c'est a cause de toutes mes émotions d'hier, le programme que j'ai recu,la très prochaine rencontre avec sylvie et Sabrina et enfin j'ai discuté avec ma cricri sur msn, trop d'émotion pour la journée....


j'ai révé donc qu'il y avait un concert hommage organisé par tous les anciens musiciens de Daniel au théatre Caumartin a paris, avec daniel en live sur écran géant, 20 jours de concert auquel j'ai assisté tous les soirs et Sabrina était avec moi et pour la dernière il y avait aussi Damien, nous avons tous eu de longue conversation avec Hervé et andy, on y a rencontré Coco , jérémy et Johanna, ainsi que France, alain chamfort...
du pur bonheur ce rève, je me réveillais et le rève continuait...

Daniel est souvent apparu dans mes reves. Parfois c'etait la star que je rencontre,moi en fan impatient, parfois c'etait mon ange gardien qui m'apparaissait pour m'aider. Enfin, chaque reve etait different.

Etrange, mais bon, tant que je me leve de bonne humeur...

ah ouiais suis sur que si ya des enregistrement vidéo mon rève est tout a fait réalisable

qui sais c'est peut etre un rêve prémonitoire :cheers:

:BONJOUR:

Eh bien c'est un rêve super que tu as fait et puis qui c'est comme tu dis c'est peut être prémonitoire ce serai merveilleux.

:trop bien:

C'est clair, ce serait le bonheur, le vrai, le seul, l'unique !!!

:vache:

Une rêve prémonitoire ? Très interessant!

Je n'ai jamais rêvé de lui - bien, pas cela que je me rappelle - mais je parie qu'il serait fantastique… Peut-être ce soir, après cette conversation !

tu verra la première fois qu'on rêve de lui ca fait bizarre le matin au réveil, tiens nous au courant le jour ou ca t'arrive.

Je maintiendrai cela dans ma tête, Cathy !

dbalavoinedams a écrit:

Moi, je n'ai jamais rêvé de lui... Du moins je ne m'en souviens pas, tout comme tous les rêves, ou presque, que je dois faire chaque nuit..

Detail stupide, faut pas avoir peur en tant qu'homme de rever de ton idole. Je pense pas que c'est ton cas.

Avec le temps ces reves ont un peu disparu chez moi... Faut dire que ces derniers temps, je prefererais ne pas rever de lui, car j'enchaine les cauchemars et reves etranges... Je n'aimerais pas le voir meler a ceci...

andromede a écrit:

dbalavoinedams a écrit:

Moi, je n'ai jamais rêvé de lui... Du moins je ne m'en souviens pas, tout comme tous les rêves, ou presque, que je dois faire chaque nuit..

Detail stupide, faut pas avoir peur en tant qu'homme de rever de ton idole. Je pense pas que c'est ton cas.

Avec le temps ces reves ont un peu disparu chez moi... Faut dire que ces derniers temps, je prefererais ne pas rever de lui, car j'enchaine les cauchemars et reves etranges... Je n'aimerais pas le voir meler a ceci...

Mais je n'ai jamais dit que j'avais peur, juste que je n'avais jamais rêvé de lui... ou alors peut-être mais comme je ne me souviens jamais de mes rêves... Je ne m'en souviens pas !

:vache:

:BONJOUR:

Ce qui est bête c'est que les plus beau rêves on s'en souvient pas forcement.

:857:

Moi aussi j'enchaine les rêves bizarres et les cauchemars mais par contre moi y a Daniel dedans !! Et bien c pas top !!!

Bisous !

J'ai écrite une petite histoire basée sur vos rêves (et certaines de mes propres..).

Même si la grammaire est la désordre habituelle… peux-je la placer ici?

:BONJOUR:

Oui écrit le et fais nous le lire il n'y a aucun probleme.

Bien, voici ma petite chronique - on doit comprendre que je suis toujours inquiété au sujet mes textes fictifs. (booof, perfectionnisme, je vous deteste! )

-*-*-*

Bienvenue à Monopolis (histoire d'un rêve)


La station de métro a deux rangées des sièges, un contre l'autre, en face aux deux lignes différentes qui arrivent à cet endroit. Et je m'assieds là, six heures de la matin, en attendant mon train. Je entend la musique, comme d'habitude. Elle m'aide à rester éveillé et vivant. Peuple souvent me regard et faire les questions que je feins pour ne pas comprendre. Puisqu'il me blesse pour indiquer que je comprends bien: « pourquoi n'écoutez-vous pas quelque chose approprié a votre âge ? »

Puisque je ne veux pas. Parce que ces chansons parlent à mon coeur, et c’est que je recherche : quelque chose pour emporter l'amertume de mes jours. Et il y a une voix en particulier qui me parle comme si il m'a connu. C'est bien impossible, à moins que vous croyiez en vie après la mort... Et, c’est-a-dire, je ne sais pas si je crois.

Quelqu'un s'assied à la chaise derrière moi. J'arrête la radio pendant un moment. L'endroit ressemble à un cimetière (drôle de architecture avec ces murs idiotes en béton gris !) et je attends le train en silence. La personne derrière moi commence a chanter quelque chose dans une voix basse, loin de tout. Et j'identifie la chanson... « Quand on arrive en ville, on arrive de nulle part ». Je ris et il s'arrête, comme si offensé. On n'ose pas tourner et voir l'autre à la chaise opposée.

« Chante encore, j'aime cette chanson », je dis.

« C’est vrai ? » C'est la voix d'un homme, un peu timide mais chauffe.

« Oui, je l'aime beaucoup.»


Il se fait silencieux pour un moment. Alors il laisse aller un petit rire et se tourne vers moi.


« C’est a peu drôle, n'est-ce pas? Tu aime cette chanson. Tu n'ête pas née quand on lui a écrit... »

« Ah, bon ? Pas de probleme pour moi... Musique sait pas de l'endroit ou le temps ».

« Ou même frontières entre les mondes.»

Et alors je me tourne vers mon interlocuteur, bien amusé. Il est là, blouson en cuir, longs cheveux qui ne cachent pas le visage légèrement malfaisant et ces beaux yeux foncés. Je connais ces yeux - je les saurais n'importe où. Il me sourit, lèvres pincées, un mec qui a gagné le jeu.

« Impossible », je réponds, un peu consterné.

« Pas du tout ! Tu peux me voir, ne est-ce pas ? »

« Oui, mais… Mais comment c'est possible?»

Il hausse ses épaules. « J'ai quitté de me demander, moi. Il est intéressant de marcher autour, et puis je marche. C’est tout ».

« Mais dans ici ? Dans ma Monopolis ? C’est trop loin de ton monde, de ta France»

« Mon monde ? Je n’ai pas... C’est la musique - quand on joue, je sais que je suis chez moi... . Mais tu l’ai su... tu n’ai pas vraiment pensé que je me reposerais? Tant pour faire… »

Je ris, étonnant par ceci que je vois. Il est là. L'oiseau de nuit, comme je l'ai appelé quand j’ai besoin de une voix. Il y a tant de choses que j'ai voulu lui dire, beaucoup de choses que j'ai voulu demander - et rien ne vient. Je suis amorti par cette expression.

Tant pour faire.

Et la réponse qui vient à moi, amèrement : tant pour faire, tant peu de temps, trop tôt emporté, trop tôt disparu.

« Ah, non. Ne pense pas de ces choses », il fronce des sourcils. « Ne demande pas pourquoi. Ne pense pas de cette question, il n'est aucune utilisation. Pense à ce qui a été resté.»

« Il y a la musique. Et ceux autour de nous...C’est ne pas probleme pour moi », je ris et il rit aussi, un bruit qui dépasse les murs du béton. Je suis à l'aise avec lui, comme quand j'entends ses chansons. Je ne sais pas pourquoi. Je ne crois pas aux anges gardiens - et je ne crois pas qu'il aurait jamais un ange - mais à mon coeur il y avait un espoir que peut-être il pourrait...

Mon train arrive et j'hésite à aller. Ange ou pas ange, je ne veux pas partir sans lui.


« Allez. Ne t’inquiéte pas. »

« Tu ne sera pas ici quand je retourne ».

« Pas de bêtises, tu peux m'entendre. »

« C’est n'est pas la même chose… »


Le train attend. Et avec un soupir lourd, je le laisse. Il se tient pour m'observer partir, et je souhaite qu'il pourrait venir avec moi.

« Je me demande si je vais te revoir»

« Pourquoi pas ? », il a souri encore.

Et comme un nuage, il n'est plus là.

C'est... magnifique... Rien à ajouter... Bravo... et merci...

C'est tellement beau je ne sais pas quoi ajouter.

Merci Anna

Je suis hereuse que vous a aimé ma histoire :D

Sabrine, c'est n'est pas mon rêve... Ou bien, c'est part rêve et part imagination débridée, inspirée par les rêves et histoires que j'ai lu ici et dans autre parts... J'aime écrire des récits et autres genres de histoires.

(et j'ai écrite une autre histoire, une suite par "Bienvenue à Monopolis", intitulé "Le return d'oiseau de nuit". Je peux le placer ici, si vous voulez...)

Je suis impatiente de lire la suite.

:857:

Eh bien, c'est ici.. Malgré la grammaire, comme d'habitude, le suite pour "Bienvenue à Monopolis"...


Le retour de l'oiseau de nuit

- Essayons une plus de fois… Allons-y, hé, que elle ne peut pas être ceci compliquée !

Et les gens disent que la musique est bonheur ! Ceux certainement n'ont jamais été dans une répétition. Ma bande avait essayé de jouer ce chanson correctment pendant la dernière heure, sans un résultat en vue. Nous commençons à jouer et alors les choses se produit : le portable sonne, quelqu'un appelle dehors, le rhytme tourne mal, quelqu'un oublient les paroles… Toujour une nouvelle!

Nous sommes six musiciens, cinq hommes et moi, de quatre pays différents. Les filles toujours me demande comment il est d'avoir cinq mecs autour de moi à toute l’heure... quand on vivre autour des hommes comme ça, ils sont transformés en frères. J'ai mon mari, qui parfois joue le saxophone avec le groupe. Il ne s'est jamais inquiété des gars de la bande, même si je arrive tard chez nous toutes les vendredis...

- C'est officiel : je demande un repos !, Didier a crié au fond de la salle. Il était le joueur de guitare, un camarade de cheveux roux avec peu de patience aux choses.

- Mais nous devons...

- Plus tard , j’ai dit !

La bande démantèle et je m'assieds près de Didier. Il est une personne saine, je pensent. Je devine qu'il comprendra mes doutes. J’aime ce mec-là, il est comme un frère à moi. Et je sais qu'il ne rira pas si je fais une question.


- Didier, peut je te demander quelque chose ?

- Si c'est argent, ne me demande pas, parce je n’ai pas une flèche !

- Non, il est un une question théorique, je pense...

- Ah, bon ?

- Tu crois aux anges gardien, ce genre de chose ?


Il s'arrête et pense, allumant une cigarette. Alors il se tourne vers moi et répond :

- Je crois, bien sûr. Pourquoi tu me demandes ?

- Puisque j'ai eu ce rêve…

- Ah, rêves, j'aime des rêves -, il rit. - Et tu ai rencontré ton ange, je pense ?...

- Je ne sais pas si je l'appelle comme cela. Il a semblé très humain à moi .


Je ne veux pas dire à Didier l'identité de mon « ange ». Je pense qu'il ne comprendra pas, il me raillera.


- Humain comme qui? Comme quelqu'un que tu connaître?

- Un peu comme ça. Comme un Johnny Rockfort.

- Meilleur Johnny Rockfort que Johnny Halliday, il rit. Il n’aime Halliday pas beaucoup.

Et c'est tout qu'il dit. Il ne veut pas parler et je me sens triste que je ne puisse pas dire ce qui est arrivé à moi. Je crains que personne ne me croient.

Nous sommes revenus à la répétition. Une autre heure passée, et puis une autre. Le batteur a voulu stopper pour la soirée - il a dû retourner à la maison, parce que sa copine attendait. C’est était comme un présage et bientôt nous a pris notre manteaux. Didier a demandé si j'allais retourner seule, et si j'ai voulu qu'il marchât avec moi.

La voix d'un homme a été entendue à l'entrée de le studio : « Ne s'inquiéte pas, j'ira avec elle ».

C'est lui. Cette fois autour, il a semblé différent. Les cheveux étaient plus courts, le visage était plus ronde. Un peu comme les jours de son premieres soirées a l’Olympia, mais toujours avec ce sourire dans levrés pincées. Didier ne l'a pas identifié, une chose que j'ai trouvée drôle.


- Et qui sont vous ? - Didier a demandé.

- Je m'appele Henri - un sourire ironique a croisé ses lèvres, Didier n'a pas noté - Un ami. Son mari m'a demandé de l’emmener chez elle.


Il n'a pas dit plus, et ils ne lui ont pas demandés quelque chose. J'ai marché avec lui dehors, dans la rue vide et froide.


- Mais comment se fait qu'ils ne vous aient pas découvert ?! - je suis bien amusée.

- Je ne sais pas. Certains voient bien par moi - bien, je devine qui est ce qui arrive habituellement à un fantôme... Mais certains me voient et ne m'identifient pas. C'est autre chose que je ne comprends pas.


Je choisis de ne pas lui demander plus. Juste une dernière chose :

- Combien de temps peux tu rester cette fois, Daniel ?
- J'ai juste de temps de t'envoyer à la maison.
- Ça suffit pour moi.

Et avec bras dessus, bras dessous il me mène par la rue, et nous parlons de la musique et la vie, les choses drôles et les choses tristes qu'un ami peut se confier à l'autre jusqu'à ce que le matin vienne et il part encore, l'oiseau de nuit qui jamais pourrait rester pendant longtemps.

Je suis heureux tu l'ai aimé, Dams, malgré les fautes habituelles :D

J'écris un autre suite à l'heure actuelle (les choses ont été pas vites au bureau aujourd'hui). Peut-être je pourrai le placer ici cette semaine

Merci toujours pour le soutien!