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 Jean-Claude Brialy, éternel dandy révélé par "Le beau S

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badette
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Jean-Claude Brialy, éternel dandy révélé par "Le beau S Empty
MessageSujet: Jean-Claude Brialy, éternel dandy révélé par "Le beau S   Jean-Claude Brialy, éternel dandy révélé par "Le beau S I_icon_minitimeSam 02 Juin 2007, 10:16

Jean-Claude Brialy, éternel dandy révélé par "Le beau Serge"

[31/05 - 07h39]







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Jean-Claude Brialy au théâtre Edouard VII à Paris,
lors d'une répétition de la pièce "Désiré" de Sacha Guitry, mise en
scène par Brialy, le 27 janvier 1984





L'acteur
et réalisateur Jean-Claude Brialy, décédé mercredi à 74 ans, fut révélé
en 1958 par sa performance dans "Le beau Serge" de Claude Chabrol, mais
il était aussi une grande figure du théâtre et de la vie mondaine
parisienne. "Avec la disparition de ce grand comédien, ce grand
acteur, mais aussi cet entrepreneur, réalisateur, directeur de salle et
de festival, disparaît aussi un humaniste gourmand et un mémorialiste
inépuisable, une sentinelle de la nuit, de la fête et de la poésie", a
déclaré le président de la République Nicolas Sarkozy. Apparu
pour la première fois au cinéma en 1956 dans "Elena et les hommes" de
Jean Renoir, il fut notamment l'interprète de Louis Malle ("Ascenseur
pour l'échafaud", 1957, "Les amants", 1958), Claude Chabrol ("Le beau
Serge", 1958, mais aussi "Les cousins", 1959), François Truffaut ("Les
quatre cents coups", 1959) et Eric Rohmer ("Le genou de Claire", 1970). Personnalité
de la vie mondaine parisienne, il était le propriétaire depuis 1986
d'un théâtre de la capitale, "Les Bouffes parisiens", après avoir
dirigé le théâtre Hébertot à partir de 1977. Réalisateur, à la
télévision et pour le grand écran, il signa une dizaine de films, dont
"Eglantine" (1971) et "Les volets clos" (1972). Il
avait tourné son dernier film pour la télévision en 2006, "Monsieur
Max" de Gabriel Aghion. Ecrivain à ses heures, Brialy a publié
plusieurs livres de souvenirs à succès: "Le ruisseau des singes"
(Robert Laffont, 2000) et "J'ai oublié de vous dire" en 2004 (XO
éditions). Né le 30 mars 1933 à Aumale (Algérie), ce fils de colonel vit son enfance au rythme des mutations paternelles. Après
son baccalauréat, il s'inscrit d'abord au Conservatoire de Strasbourg
où il obtient un premier prix de comédie, puis au Centre d'art
dramatique de l'Est. Au cours de son service militaire à
Baden-Baden, il est affecté au service cinéma des armées, qui lui donne
entre autres l'occasion de tourner dans son premier court métrage,
"Chiffonard et Bon Aloi". Il sympathise aussi à cette époque avec
plusieurs comédiens en tournée théâtrale, dont Jean Marais, qui
l'encouragent dans sa vocation. Débarqué à Paris en 1954, il se
met très vite à fréquenter "la bande des Cahiers du Cinéma". C'est
Jacques Rivette qui l'engage le premier dans son court métrage "Le Coup
du berger" en 1956. Il tourne la même année dans "Elena et les hommes"
de Jean Renoir et "L'Ami de la famille" de Jacques Pinoteau. Il multiplie les apparitions, notamment dans "Ascenseur pour l'échafaud" (1957, Louis Malle). La
célébrité arrive en 1958 avec les deux premiers films de Claude Chabrol
: "Le Beau Serge" et "Les Cousins" révèlent un acteur désinvolte et
racé, qui emporte l'adhésion du public. Dès lors la Nouvelle Vague ne
le lâche plus et Brialy tourne avec Jean-Luc Godard (1960, "Une femme
est une femme"), François Truffaut (1967, "La Mariée était en noir") ou
encore Eric Rohmer (1969, "Le Genou de Claire"). En
1971, il réalise son premier film, "Eglantine", une évocation
nostalgique de ses souvenirs d'enfance. Attaché à cette période de la
vie, Jean-Claude Brialy décide de mettre également en images pour la
télévision "Les Malheurs de Sophie" (1981) et surtout "Un bon petit
diable" (1983), avec Alice Sapritch en marâtre. Boulimique de
travail, tournant plusieurs films par an à moins qu'il ne soit au
théâtre, Jean-Claude Brialy touche à tous les genres. Bon copain
dans "Christine" (1958, Pierre Gaspard-Huit) ou débordé par les femmes
dans "La Chasse à l'homme" (1964, Edouard Molinaro) et "Julie pot de
colle" (1977, Philippe de Broca), il sait cultiver une image d'amuseur
élégant. Mais la gravité fait tout aussi bien partie de son jeu,
qu'il exploite notamment dans les films noirs à la française comme
"Mortelle randonnée" (1982, Claude Miller). Préférant la retenue
à l'extravagance, Jean-Claude Brialy incarna souvent des personnages
tendres devenant avec l'âge de plus en plus paternels, voire
patriarches, à l'exemple de "L'Effrontée" (1986, Claude Miller) et "La
Reine Margot" (1994, Patrice Chéreau).
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